Les comportements susceptibles de mener au harcèlement font souvent partie du quotidien du travail - et il y a longtemps que les agresseurs ne sont plus exclusivement des hommes et les victimes uniquement des femmes. Telle est la conclusion à laquelle aboutit une étude du Programme national de recherche «Egalité entre hommes et femmes» mené entre autres par l’UNIL.
Il n'existe pas de profils d'agresseurs et de victimes typiques; ce qui compte davantage, c'est le climat qui règne dans l'entreprise. Blagues sexistes, messages électroniques osés, contacts physiques apparemment dus au hasard, baisers imposés: il existe diverses formes de harcèlement sexuel possibles sur le lieu de travail. Il y a longtemps que leurs auteurs ne sont plus exclusivement des hommes et leurs victimes uniquement des femmes, comme le montre le groupe de recherche autour de Franciska Krings, de l'Université de Lausanne et de Marianne Schär Moser, de l'entreprise «Forschung und Beratung».
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