Dans les musées comme partout ailleurs, le virage technologique est imaginé, géré et produit par des professionnels créatifs, audacieux et souvent motivés par la curiosité et le désir d'apprendre. Réaliser un blogue afin de mieux faire connaître une collection, concevoir des dispositifs numériques in situ, échanger des savoirs sur les médias sociaux, aider des adolescents à créer avec les nouveaux outils 2.0 ou évaluer le succès des projets virtuels : voilà quelques exemples des réalisations menées par les professionnels de la muséologie, rencontrés dans la capitale américaine au printemps 2014, lors de cette série d’entretiens qui pose un regard sur la manière dont la profession est transformée par l’utilisation des nouvelles technologies.
Comment les nouveaux exercices virtuels transforment-ils (bousculent-ils ?) les organisations muséales ? Quels outils concrets utilise-t-on dans les nouvelles pratiques de la muséologie ? Comment le travail est-il réparti et effectué dans les équipes ? Et comment les professionnels de la muséologie peuvent-ils bien arriver à s’adapter à la cadence effrénée des changements apportés par le numérique ?
Ces rencontres ont pour but de dresser un portrait actuel, sinon exhaustif, du travail qu'effectuent les responsables des projets numériques dans le développement, la gestion et la production de la nouvelle muséologie virtuelle.
Malgré tous les dispositifs mis en place durant le confinement du printemps 2019, beaucoup d'enseignants ont craint qu'à la rentrée 2020 de nombreux enfants aient quelques retards sur leur parcours scolaire. Le gouvernement du Québec a donc décidé d'investir pour que des professionnels développent des stratégies d'aide. Une approche à la fois saluée mais aussi critiquée.
De nombreuses créations humaines ne pourront jamais être vues par le grand public dans les musées. Certaines ont été détruites dans des conflits armés et beaucoup d’autres circulent dans les milieux de crime organisé. Une contrebande d’œuvres qui semble difficile de stopper étant donné le manque d’effectifs spécialisés en art dans les forces policières.
Nos photographies ont-elles une valeur artistique? Généralement, les spécialistes diront que non étant donné que nous ne faisons pas attention au cadrage, à la lumière, etc. Pourtant, une historienne de l’art y trouve un sujet d’étude fort passionnant. D’ailleurs, même des musées ont commencé à s’intéresser de temps à autre à ce type d’art plus amateur.
Les cabinets de curiosités, ancêtres des musées, permettaient de montrer au grand public des objets étranges ou exotiques. Parmi ceux-ci figurait souvent de l’armement. Une façon de non seulement s’intéresser aux moyens de défense d’autres civilisations mais aussi d’afficher son statut social, ces armes n’étant que rarement offertes aux premiers venus.
La Mona Lisa nous regarde-t-elle? Cette idée fait partie des nombreuses légendes entourant la célèbre création de Léonard de Vinci. Pourtant, techniquement, la Joconde ne fait pas de regard caméra suscitant cet effet optique. Alors, pourquoi les gens continuent-ils de croire en cette fiction?
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