
Étudier, rédiger, plagier, tricher, empêcher la triche ou ne pas tricher. Des ressources
Plagiat et anti-plagiat. Des ressources pour jouer au chat et à la souris jusqu'à ce qu'on passe à autre chose...
Publié le 02 mars 2000 Mis à jour le 02 mars 2000
De nombreux travaux ont déjà présenté l’étendue et l’impact d’Internet en Afrique. Outre le numéro 23 de Africultures, largement consacré à cette question, on trouve une abondante littérature sur le sujet dans le site de l’Université virtuelle francophone AUF. La Charte de Moncton y fait une large place :
L’Afrique à l’heure des inforoutes.
Par ailleurs, une assez bonne monographie coordonnée par Annie Chéneau-Loquay est parue en février 2000. Riche et variée dans son analyse, l’ouvrage a pour titre :
Enjeux des technologies de la communication en Afrique. Du téléphone à Internet.
Le continent noir n’est donc pas la grande absente que l’on croit sur le net. Ce qui n’exclut pas, dans la réalité, que de nombreux problèmes se posent et qu’il faudra les résoudre pour atteindre le niveau technique requis pour s’insérer dans l’interconnection mondiale.Internet dans toute l’Afrique
Dans le bulletin agricole mensuel, Syfia, on procède d’abord à une profonde analyse des possibilités technologiques et psychologiques qu’offre l’Afrique pour s’impliquer dans l’utilisation d’Internet. «C’est une chance inouïe pour l’Afrique, une révolution capable d’inverser la coopération internationale, un outil rêvé pour l’Afrique orale et multilingue», s’exclament les intellectuels africains désireux d’imposer la révolution des mentalités. Et cette révolution s’opère déjà, comme le montrent les analyses effectuées, pour quelques pays, dans les domaines économique, agricole, social et médiatique.
Internet économique
se vend
par Internet aux Chambres de commerce de l’extérieur. Ce marché juteux atteint plus de 1, 2 million de FF de chiffre d’affaires depuis 1996. L’homme d’affaires sénégalais, Babacar Diop, vante les mérites du réseau Internet sur lequel il vient de créer la plate-forme d’échange d’informations économiques Africultures, avec ses homologues latino-américains.Internet pour une société plus large, plus libre
Syfia donne ainsi de précieux détails utiles sur les différents usages d’Internet sur le continent noir. Mais, on le constatera, ces usages sont des initiatives personnelles; les connexions sont effectuées à domicile et le prix du téléphone est fortement onéreux pour la bourse du citoyen moyen. La construction de cybercafés publics est à encourager. Ces investissements seraient encore plus utiles s’ils étaient orientés vers l’éducation de base et l’école. Un enfant instruit est un prisonnier de moins.
Dans les pays africains, le téléphone et Internet sont encore le privilège des grands commis de l’État, qui les utilisent constamment.
Mots-clés: Travaux Internet impact étendue Africains
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