
Toute entreprise privée ou collective, organisme à but non lucratif, organisme public ou parapublic peut y soumettre une idée de projet de recherche partenariale.
Publié le 18 février 2020 Mis à jour le 18 février 2020
Nous le savons, les adolescents adorent prendre des photos avec leur téléphone d’eux-mêmes et de leurs amis. Des clichés qu’ils partagent sur Instagram en espérant les mentions « J’aime ». Or, des élèves de la dernière année du secondaire ont été conviés dans le cadre d’une étude à utiliser leur appareil différemment. Ainsi, dans un cours d’art plastique, ils devaient photographier leur environnement sous un compte anonyme et sans que figure le visage de qui que ce soit.
Une liberté qui a figé les adolescents au départ mais qui a fini par les libérer. En effet, ils n’étaient plus esclaves des attentes sur leur corps ou leur figure sur la plateforme et pouvaient plutôt s’intéresser à la beauté de leurs milieux. L’aspect des pseudonymes enlevait le côté concours de popularité et donnait l’occasion aux autres élèves d’admirer le travail de chacun.
Illustration : Free-Photos de Pixabay
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