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Publié le 12 janvier 2022 Mis à jour le 12 janvier 2022
Le travail de traduction ne reçoit pas les honneurs mérités. Transposer les mots d'un auteur étranger et qu'ils soient compris et appréciés par une autre communauté linguistique n'a rien de facile. Que ce soit dans le cadre des oeuvres audiovisuelles, de la littérature ou de la bande dessinée, cet acte essentiel comporte son lot de défis.
Dans le cadre du festival ViÑetas tenu à l'Espace Mendès France, deux interprètes racontent les enjeux de transposer des oeuvres hispaniques dans diverses langues comme le français pour Alexandra Carrasco-Rahal ou le suédois pour Ellinor Broman. En effet, les romans graphiques ou bandes dessinées n'offrent pas la flexibilité du roman où des phrases peuvent être interverties pour garder le sens. Ici, le texte doit rester dans la taille prévue des cases par le dessinateur. Cela demande de réfléchir l'adaptation.
D'autant plus que le monde hispanophone utilise moins de lexèmes et est moins regardant sur les répétitions que les francophones. Toute la question des onomatopées est aussi essentielle. Un objet lancé contre le mur ne sera pas traduit pareillement en espagnol qu'en suédois. De plus, il faut parfois faire un travail d'exposition au préambule à l'oeuvre d'événements ayant lieu en Espagne ou en Amérique du Sud (ou centrale).
Durée : 1h40
Illustration : DaModernDaVinci sur Pixabay
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