«Les scores d'empathie mesurés chez 202 personnes autistes se sont
révélés semblables à ceux de 1134 personnes issues de la population
générale, pour l'évaluation d'émotions chez une grande diversité
évolutive d'espèces vivantes. Seuls les scores concernant les êtres
humains montrent un décrochage.»
Pour expliquer ce phénomène, les chercheurs Marine Grandgeorge et Aurélien Miralles sont partis d'une hypothèse : plus un espèce est éloignée de nous dans l'arbre de l'évolution, moins elle nous ressemble et plus
nous avons de la difficulté à interpréter ses communications et ses
signes.
En somme, il nous serait plus facile de comprendre le comportement émotionnel d'un singe que d'une souris et plus facile de comprendre celui d'une souris que d'un poisson... ainsi de suite jusqu'aux insectes et autres espèces dont notre branche d'évolution s'est séparée il y a des centaines de millions d'années.
Autant les humains que les autistes partagent ce sentiment d'affinité avec la vie. Mais alors pourquoi une telle différence entre les autistes et les humains pour ce qui est de l'empathie pour les humains ?
C'est que si les animaux sont assez transparents dans leurs émotions alors que dans bien des situations «les humains sont habitués à feindre, à détourner ou à contenir leur expression émotionnelle, qu’il s’agisse de préserver leur intimité, de se conformer aux conventions sociales, par stratégie de bluff ou par comédie.»
Les humains sont potentiellement bien plus complexes à comprendre que les animaux, d'où la difficulté des autistes à savoir à quoi s'en tenir avec nous.
Ce qui ouvre aussi des perspectives pour de meilleures communications avec les autistes.
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