En général, nous avons la chance dans nos sociétés occidentales de bénéficier d’un filet social plus ou moins important. Or, ces lois sont souvent nées de luttes et de réalités qui ont obligé la sphère politique à agir. Une exposition québécoise pensée par un historien rappelle à quel point, entre 1850 et 1930, la vision de la pauvreté était étroite.
En effet, les indigents, les chômeurs, les filles mères et bien d’autres sont mis à l’écart de la société, les familles ne pouvant pas s’occuper d’eux. Ainsi, il n’existait que deux endroits possibles pour eux : la prison pour les mendiants et des œuvres de charité mises en place par l’Église ou des bienfaiteurs privés. Il faudra attendre 1921 pour que la première grande loi sociale soit adoptée pour aider les établissements qui ne pouvaient plus répondre à la demande. Un rappel de l’importance de ces lois qui ont mené à un peu plus d’autonomie et de bien-être pour les gens moins fortunés.
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Mots-clés:
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Pauvreté
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