
Près d'une centaine de personnes étaient réunies à l'UQAM, le 17 octobre dernier, pour discuter des défis de demain dans le vaste champ des recherches en sciences sociales et humaines au Canada. Retour sur les moments marquants de ce rendez-vous.
Publié le 12 mai 2020 Mis à jour le 12 mai 2020
Le Québec est un des territoires où le personnel infirmier est en sous-effectif. En fait, beaucoup d’infirmières diplômées préfèrent ne pas prendre des postes temps plein. Alors, la solution passera probablement par l’embauche d’immigrants ayant des formations d'infirmiers. Or, cela n’est pas si simple. Il faut dire que la province oblige les nouveaux arrivants à posséder un permis d’exercice délivré par l’ordre des infirmiers et infirmières du Québec.
Mais qu’est-ce qui facilite leur intégration dans le milieu de la santé. D’après une étude pancanadienne, il semblerait que les années d’expérience jouent en la faveur de ceux qui en ont le moins. En effet, ils sont alors plus ouverts à travailler avec une différente approche. Aussi, ceux venant de systèmes de santé éloignés de celui canadien s’intégraient mieux que ceux provenant d’un environnement similaire. Évidemment la maîtrise des langues officielles a un rôle important dans la facilité pour se trouver un emploi.
Illustration : Banc Imatges Infermeres Infermera recull informe a urgències via photopin (license)
En savoir plus sur cette ressourceMots-clés: Intégration Immigration Soins Infirmiers migration Études Préalable Clés
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