Pour bien des enfants, l’heure du dodo n’est pas nécessairement source de plaisir. Pour plusieurs, il s’agit d’un peu de frustration de voir les « grands » continuer à rester éveillé le soir. Or, pour un certain nombre vivant une anxiété de séparation, cela veut dire des nuits tout sauf paisibles.
En effet, une recherche menée, entre autres, par l’École de psychologie de l’Université Laval a noté que chez ceux ayant une forte anxiété, le risque de bruxisme — c’est à dire une friction inconsciente des dents — était doublé. De son côté, les terreurs nocturnes étaient très fortes pour les tout-petits et diminuaient en vieillissant alors qu’à l’inverse, les cas de somnambulisme augmentaient avec l’âge. Il ne s’agit pas du seul élément expliquant ces phénomènes mais il peut jouer un rôle important. Attention, toutefois à ne pas paniquer : l’anxiété de séparation décroît plus l’enfant prend de l’âge. Par contre, si des problèmes persistent, un pédiatre ou un psychologue sera nécessaire.
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Illustration : ibrahim abed de Pixabay
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