Au Québec et au Canada, depuis février 2015, la Cour suprême obligeait les législateurs à permettre l’aide médicale à mourir pour les personnes en phase terminale voulant décider de finir leurs jours dans la dignité. Une approche qui a contraint la profession médicale à voir d’un autre œil la fin de vie. Même chose pour les proches qui ont dû vivre cette expérience.
En effet, même en sachant la date de la mort, l’événement reste un choc pour la famille. Il s’agit d’un épisode surréaliste et plein d’émotions contradictoires. D’un côté, la peine immense de voir quelqu’un partir et, en même temps, ils perçoivent le soulagement du malade qui anticipe positivement la fin de ses souffrances.
Au lieu des formations classiques, les programmes sont développés pour aider les étudiants, chômeurs, professionnels en réorientation de carrière, bref de toutes les couches sociales, à créer des profils adaptés reconnus et qui répondent à un besoin réel dans le marché des compétences.
D’après une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Montréal et d’autres chercheurs, la trajectoire de poids pourrait déterminer le degré de réussite scolaire chez les jeunes. Les enfants qui ont un poids insuffisant persistant entre quatre et sept ans ont moins bien réussi à un test cognitif à l'âge de huit ans.
La diversité des parcours et des milieux sociaux vient contrecarrer une croyance qui a la vie dure : le coût de ces parcours prestigieux n’est accessible qu’à une élite financière.
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