Vous souvenez-vous du charmant WALL-E, robot vedette du film de Disney? Conçu pour nettoyer la Terre de ses déchets, WALL-E rencontre l'amour et, après de folles péripéties interplanétaires, retrouve sa tendre moitié robotisée. Simple histoire de fiction? Le sympathique robot IRL1, créé par l'IntRoLab de l'UdeS, laisse croire que non.
Les recherches qui visent à mieux intégrer les robots dans l'environnement humain connaissent d'impressionnantes avancées. Le développement des capacités de perception des robots est en pleine effervescence, si bien que la vie émotive des robots n'est plus une utopie réservée aux studios d'animation de Pixar.
Des chercheurs et des étudiants de l'UdeS de l'IntRoLab s'affairent notamment à perfectionner l'audition artificielle, dans le but d'amener le robot IRL1 à interagir le plus intuitivement possible avec les humains. Et comme la parole est le principal moyen de communication des humains, on apprend aussi au robot à décoder le contenu paralinguistique du langage, tel que les émotions.
Après la phase d'analyse du processus de scénarisation pédagogique que nous vous avons proposé en deux étapes, voici la phase de développement qui permet de combiner à la fois des contenus, des activités et des méthodes d'évaluation.
De nombreux trésors demeurent cachés, même sous nos yeux. Par le monde, un nombre important de momies, de cercueils et de sarcophages sont admirés dans les musées par des millions de visiteurs. Et si les couleurs employées dans la production de ces cercueils recelaient des trésors d'informations ? Découvrons-le avec la thèse de Lucile Brunel-Duverger.
Dans un monde fortement animé, il ne suffit plus que de compter sur sa réputation. Il faut se démarquer et, surtout, se créer une communauté de fidèles. Voilà pourquoi même dans le milieu culturel, de plus en plus font appel à des animateurs de communauté en ligne. Le milieu du musée en a vite compris les avantages. Et maintenant certains songent à ce que les bibliothèques emboîtent le pas...
Une semaine après le début de l’expérimentation, les enfants se sont trouvés eux-même un professeur : un étudiant en art qui avait suivi un cours de base sur les ordinateurs. Comme c’était le seul qui connaissait quelque chose aux ordinateurs dans la colonie, on lui vouait un grand respect. Après 10 jours, ces enfants illettrés savaient comment fermer l’ordinateur, créer des raccourcis et aller sur les sites de Disney ou de MTVonline, utiliser des logiciels de dessin, la calculatrice, changer les fonds d’écran à partir d’images dans Internet, etc. Bref, il n’y a pas que les parents des enfants des classes moyennes qui peuvent s’émerveiller de la vitesse à laquelle leurs enfants s’accaparent de l’ordinateur. Tous y arrivent, et plutôt rapidement une fois qu’ils y ont accès.
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