Dans la fiction, il existe un genre qui a gagné en popularité dans les années 70 et 80 : le « post-apocalyptique ». L’idée est de montrer un monde qui a subi de graves cataclysmes, éliminant une bonne partie de la société humaine et des survivants qui essaient de s’en sortir dans ce monde de brutes. L’exemple le plus parlant est celui de Mad Max de George Miller en 1979.
Comme le rappelle cette émission de BiTS, le genre est né en parallèle du mouvement musical punk qui affirmait qu’il n’y aurait pas de futur. Les cauchemars conçus par les créateurs de films, de bandes dessinées et de jeux vidéo « post-apo » nous oblige à penser des humains qui sont revenus presque à l’état sauvage, voire animal. Cette approche est excitante et même appréciée du grand public car elle reconnaît que la fin du monde actuel pourrait redonner une pureté perdue à l’humanité.
Le plagiat est quelque chose que les gens ne pardonnent pas. Si quelqu'un attend la publication de votre travail, il s’attend à ce que l'éthique de l'écriture soit respectée. Copier du contenu volontairement ou non est une grave violation de cette éthique. Une fois votre réputation entachée, il sera difficile de la regagner, il est préférable d'être prudent.
Un physicien du LPT (Laboratoire de physique théorique de Toulouse) et ses collègues d'outre-Atlantique (IQC et MIT) proposent un nouvel algorithme quantique qui permettra d'accélérer de manière exponentielle la procédure d'ajustement des ordinateurs quantiques.
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