Claroline, une plate-forme trop simple ?

L’impact de Claroline dans l’institution où elle a été créée, à la fois au niveau des usages des professeurs et au niveau des perceptions des étudiants quant à leurs apprentissages

C’est en 2003 déjà que Thot a publié un premier article de Marcel Lebrun, père spirituel de Claroline : "Apprendre et Enseigner sur la plate-forme Claroline".

Depuis, les travaux sur la plate-forme ont continué avec l’ouvrage eLearning pour enseigner et apprendre : allier pédagogie et technologie, M. Lebrun (2005), qui peut être considéré comme le "livre sur Claroline".

On y faisait l’hypothèse qu’une plate-forme simple à l’utilisation, intuitive, dévéloppée et évolutive au fur et à mesure des besoins des enseignants, ouvertes à différentes formes de pédagogie (du traditionnel transmissif au socio-constructivisme ambiant) devait permettre aux enseignants de ce consacrer à ce qui importe le plus : l’apprentissage des étudiants.

Elle contribuait ainsi au nécessaire renouveau des institutions d’enseignement "coincées" entre les exigences des professionnels (les compétences à développer), de l’Europe (Bologne), les économies de marché (au niveau mondial)...

Aujourd’hui, Marcel Lebrun tente de voir quel a été l’impact de Claroline dans l’institution où elle a été créée : l’UCL, Université catholique de Louvain à Louvain-la-Neuve (Belgique) à la fois au niveau des usages des professeurs et au niveau des perceptions des étudiants quant à leurs apprentissages, avec cet article :

Claroline, une plate-forme trop simple ? (.doc) Ou comment la plate-forme Claroline contribue au renouveau pédagogique dans les institutions d’enseignement et de formation ?

Première hypothèse : le type d’outils utilisés par les enseignants ? Un signe de l’innovation pédagogique ?
Deuxième hypothèse : les perceptions des étudiants quant à l’apprentissage ? Un signe d’un apprentissage de qualité ?

Auteur : Marcel Lebrun Institut de Pédagogie Universitaire et des Multimédias de l’UCL.