
L’intelligence collective, une nouvelle aliénation ?
Quelles sont les limites de l'intelligence collective à un moment où tout le monde veut devenir "facilitateur en intelligence collective". Qui en profitera ?
Publié le 09 octobre 2013 Mis à jour le 09 octobre 2013
Date: 09 octobre 2013 au 01 décembre 2018
La nanotechnologie s’est insérée dans plusieurs des produits que nous consommons : peintures à séchage rapide, cosmétiques aux propriétés exclusives, ordinateurs miniaturisés, etc. Or, que connaît-on de la toxicité de ces composés une fois libérés dans l’environnement ? Professeur en chimie de l’environnement, Jean-Philippe Bellenger met en doute les conclusions des études scientifiques.
En raison de leur utilisation à la fois répandue et récente, les nanoparticules font l’objet de plusieurs recherches toxicologiques. Toutefois les conditions dans lesquelles s'exécutent ces recherches ne sont pas représentatives de ce qui se déroule véritablement au sein de l'écosystème, croit le professeur Jean-Philippe Bellenger, de la Faculté des sciences.
Le chercheur en chimie affirme que les analyses de toxicité des nanoparticules métalliques se limitent à une fraction seulement de la réalité. Pour pallier ces lacunes, Jean-Philippe Bellenger propose une approche susceptible de modifier la perception des scientifiques à l’égard de la nanotechnologie et de sa toxicité dans l’environnement.
Crédit photo : v777999 / Shutterstock.com
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