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Publié le 28 novembre 2022 Mis à jour le 01 décembre 2022
Les médicaments ont permis une augmentation majeure de l'espérance de vie humaine. Toutefois, cela vient avec des répercussions. La plupart du temps, ils ont des effets secondaires qui ne sont pas idéaux pour le bien-être du malade. Le cas de l'immunothérapie est flagrant, souvent difficile à supporter dans les cas de cancer, ils sont pourtant essentiels pour combattre la maladie mais ont des conséquences indésirables. Et si, dans le futur, des nanoparticules faisaient le travail?
Comme cela est expliqué dans cette entrevue, une recherche en Suisse est en train de travailler sur des particules composantes de l'immunothérapie. Celles-ci iraient directement vers les ganglions lymphatiques afin de transmettre le médicament au bon endroit, en nécessitant des doses moins fortes avec des répercussions positives rallongées. Ce type de thérapie pourrait donc mener à des gammes de remèdes plus précis, diminuant presque totalement les effets secondaires.
Toutefois, cette réalité n'est pas pour demain. Pour l'instant, la recherche reste en milieu in vitro. Des tests sur des êtres vivants devront se faire dans les prochaines années pour voir comment cela se déroule.
Durée : 8min20
Crédit photo : fr.depositphotos.com
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