Les mentions "Terra incognitae" sur les anciennes cartes stimulaient les explorateurs. Nous avons toujours désiré aller découvrir les terres inconnues. Depuis le 19e siècle, en plus des milieux terrestres, plusieurs ont le nez rivé sur notre planète voisine : Mars. Des scientifiques et auteurs s'intéressent depuis cette époque à la possibilité de civilisations s'y trouvant ou que celle humaine y aille.
Le multimilliardaire Elon Musk rêve d'y envoyer les premiers humains vers 2029. Sauf que pour l'instant, il n'existe pas de solution pour transporter des personnes vers la planète rouge. Déjà parce que 50% des robots envoyés ont échoué à s'y rendre, la faute à une atmosphère bien plus fine que celle de la Terre. Qui plus est, il faudrait soit trouver le moyen de plonger les terriens dans un type d'hibernation où les besoins de base seraient moindres pendant le voyage ou arriver à apporter suffisamment de nourriture, d'oxygène, d'eau, etc.
Toutefois, atterrir sur Mars ne serait pas si difficile. On connaît plus la surface de notre voisine que la nôtre parce qu'elle ne possède aucune masse d'eau importante. Par contre, l'absence de champ magnétique va compliquer l'existence des humains très vulnérables aux rayons ultraviolets et cosmiques. Déjà qu'on ne sait pas comment protéger les astronautes durant le voyage contre ces rayonnements...
Une fois rendu, il faudrait s'installer dans un des nombreux tunnels de lave dénichés par les scientifiques. Pour vivre sur la planète rouge, il sera nécessaire de trouver le moyen de créer de l'eau et des nutriments pour rendre le sol fertile. Des cyanobactéries pourraient aider à y arriver mais cela reste encore sujet à débat. L'idée de terraformation en elle-même ne fait pas l'unanimité des spécialistes, plusieurs estimant que, hormis dans des endroits clos, cela serait impossible.
Bref, Mars intéresse à raison les chercheurs. Toutefois, y voir la possibilité d'un astre pour tout recommencer relève plus de la science-fiction que de la science.
En France, 44 % des femmes et 54 % des hommes sont en situation de surcharge pondérale avec un important excédent de graisse, soit environ un adulte sur deux. La plupart des causes de cet état de fait sont directement liées aux changements apportés par notre société moderne, notamment de la profonde mutation des modes de vie, de la facilité d’accès à l’alimentation et d’une importante réduction du niveau d’activité physique.
Dans cet intéressant article de André Magny, on découvre comment des enseignantes se connectent avec succès à leurs élèves. Cela ne se fait pas tout seul, mais les résultats sont très satisfaisants autant pour les professeurs que leurs élèves.
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