Lorsque des gens ont mis au pouvoir Donald Trump ou qu'ils ont succombé aux théories du complot, le réflexe a vite été de dire qu'ils ont été idiots et manipulés par de fausses informations. De l'autre côté du spectre, les adeptes de la conspiration se sentent galvanisés par l'idée d'être plus intelligents que la masse. Bref, de part et d'autre est estimé que la capacité cognitive de l'autre est réduite.
Pourtant, des philosophes tels Jacques Rancière croient que cela est infondé. En fait, nous aurions tous une intelligence similaire au départ. Ce qui ne veut pas dire alors que l'école ou la pédagogie soit inutile. Or, comme l'affirmait le pédagogue Joseph Jacotot à la fin du 18e et au début du 19e siècle, le travail d'enseignant en est un émancipateur.
Comment mener cette masse de cerveaux vers une meilleure maîtrise du monde? Une idée d'ailleurs qui déplaît à bien des élites. En effet, si tous ont la même intelligence, donc ne peut plus être utilisée l'excuse de l'incompréhension quand un mouvement s'oppose à une réforme ou une loi. Cette "haine" de la réelle démocratie se perçoit encore de nos jours parmi les politiciens et les commentateurs et ne fait que répéter des peurs exprimées entre autres par Platon dans la Grèce Antique.
En France, 44 % des femmes et 54 % des hommes sont en situation de surcharge pondérale avec un important excédent de graisse, soit environ un adulte sur deux. La plupart des causes de cet état de fait sont directement liées aux changements apportés par notre société moderne, notamment de la profonde mutation des modes de vie, de la facilité d’accès à l’alimentation et d’une importante réduction du niveau d’activité physique.
Un physicien du LPT (Laboratoire de physique théorique de Toulouse) et ses collègues d'outre-Atlantique (IQC et MIT) proposent un nouvel algorithme quantique qui permettra d'accélérer de manière exponentielle la procédure d'ajustement des ordinateurs quantiques.
D’après une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Montréal et d’autres chercheurs, la trajectoire de poids pourrait déterminer le degré de réussite scolaire chez les jeunes. Les enfants qui ont un poids insuffisant persistant entre quatre et sept ans ont moins bien réussi à un test cognitif à l'âge de huit ans.
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